En difficulté avec votre emploi, le Médecin du travail vous a déclaré inapte médicalement à votre poste.
Cela signifie-t-il que l’employeur va procéder à votre licenciement ? Un poste de reclassement vous est proposé, êtes-vous obligé de l’accepter ? En cas de refus, cela peut-il vous être reproché ? A l’inverse, vous savez qu’un poste est disponible, et que votre formation ou vos expériences passées vous permettraient de l’occuper, mais il ne vous est pas proposé. Comment réagir ?
En cas de licenciement, pouvez-vous retrouver le même emploi, mais dans une autre entreprise ?
Vous vous posez de multiples questions, toutes légitimes.
Tournez-vous vers votre avocat en droit du travail à Toulouse pour obtenir des réponses et être accompagné dans ce type de situation, bien souvent délicate.
En effet, si vous estimez par ailleurs que la dégradation de votre état de santé est imputable à l’employeur, qui n’a pas mis en œuvre les mesures de sécurité nécessaires, c’est au stade de la procédure d’inaptitude que des actions peuvent être à mettre en place en vue d’une action juridique ultérieure.
Pour en savoir plus, consultez mon article sur l’inaptitude.
Liens utiles :
La reconnaissance de l'inaptitude médicale au travail et ses conséquences | Travail-emploi.gouv.fr | Ministère du Travail et de l’Emploi
Section 2 : Inaptitude consécutive à une maladie ou un accident non professionnel - Maladie grave (Articles L1226-2 à L1226-5) - Légifrance
Sous-section 3 : Inaptitude consécutive à un accident du travail ou à une maladie professionnelle. (Articles L1226-10 à L1226-12) - Légifrance